Et puis, omniprésente et plus forte que tout, il y a cette gaîté viscérale dans des regards qui éclaboussent et qui me font concevoir chacun de mes portraits comme un fragment d’univers, celui d’un individu évoluant dans ce cadre qui

a le mérite d’être aussi nauséabond que prodigieux, malsain que chaleureux, détruit que magnifique : La Havane.

L'utilisation du noir et blanc me permet, quant à elle, une approche plus poétique de mes sujets .

Tout en continuant de ne rapporter que la réalité, j'exprime alors mes sentiments et les émotions souvent intenses qui m'accompagnent lorsque je me promène parmi les hommes.